Nouveautés
Début juillet 2018, Concept.Cours.d’Eau (C.C.EAU) va intégrer la SCOP Aquabio. La volonté de proposer une offre globale et de promouvoir le statut coopératif a guidé cette fusion entre nos deux bureaux d’études leaders dans des domaines d’expertise complémentaires et qui œuvrent avec une motivation commune : améliorer la qualité et la biodiversité des milieux aquatiques.
S’allier pour se diversifier et renforcer les capacités opérationnelles
Gestion de ripisylve et des plantes invasives pour C.C.EAU, hydrobiologie au sens large pour Aquabio, nos deux entités sont des références dans chacun de ces domaines d’activité. Notre fusion avec Aquabio apportera sur le marché de l’analyse et l’ingénierie des milieux naturels une offre de services et de conseils complémentaires : évaluer l’état des milieux aquatiques, conseiller, former et accompagner pour leur gestion, et assurer la maîtrise d’œuvre des travaux.
Le développement de notre activité au sein d’Aquabio se fera grâce à la formation en interne et à la création de nouveaux emplois, avec l’objectif d’intervenir partout en France sur l’ensemble de ces prestations.
Un rapprochement naturel grâce à des valeurs coopératives partagées
Au-delà de la logique « métier », c’est bien une vision commune qui est à l’origine de notre fusion. Sociétés coopératives, nos deux entreprises aspiraient à se développer tout en respectant des valeurs éthiques de fonctionnement : l’implication des salariés qui ont vocation à devenir associé au bout de 2 ans, la démocratie (1 personne, 1 voix), la solidarité et le partage équitable des résultats. De plus, le modèle coopératif a facilité la faisabilité financière de la fusion.
Les valeurs coopératives sont désormais partagées par près de 80 associés et plus de 100 salariés ; une aventure humaine et collective qui démontre qu’il est possible de réussir économiquement tout en entreprenant autrement.
Informations pratiques
Concept.Cours.d’Eau intègre la SCOP Aquabio au niveau administratif mais garde ses locaux en Savoie sous la dénomination d’usage Concept.Cours.d’EAU–SCOP Aquabio.
Le site www.cceau.fr reste accessible. Les informations seront également disponibles sur www.aquabio-conseil.com
Nouveau logo
Depuis 2005 sur la Leysse et depuis 2012 sur le lac du Bourget et le Sierroz, des équipes explorent au printemps les berges pour détecter et éliminer les nouvelles plantules de renouées apportées tous les ans par l’eau. Cette opération permet d’éviter l’invasion de nouveaux sites.
Un petit reportage peut être vu sur le site de France3 Région :
Reportage de France 3
Après bien des années d’attente pour tous les déjà convaincus des impacts énormes sur les écosystèmes de la dispersion mondiale des espèces vivantes, la stratégie nationale relative aux espèces exotiques envahissantes devient enfin plus concrète en ce début d’année. A la demande Barbara Pompili, le groupe de travail* animé par Serge Muller a proposé un projet qui est en ligne jusqu’au 10 janvier et sur lequel tout le monde est invité à réagir.
Très bonne année à tous !
* comprenant des personnalités scientifiques du FCBN, MNHN, IFREMER, UICN, MEEM, ONCFS, ONEMA
De nouvelles cartes sont parues sur le site du ministère chargé de la santé. Etablies par la Fédération des conservatoires botaniques nationaux (FCBN) à la demande du ministère chargé de la santé et de l’Observatoire des ambroisies, elles offrent une vue d’ensemble des secteurs particulièrement touchés et de ceux encore relativement préservés.
La Fédération des Conservatoires d’espaces naturels organise deux journées d’échanges sur les espèces invasives (faune et flore) avec au programme des exposés sur l’actualité réglementaire et des ateliers. Inscriptions gratuites et repas offert.
Inscription avant le 2 novembre auprès de :
Agnès RAYSSÉGUIER, agnes.raysseguier@reseau-cen.org –
Fédération des Conservatoires d’espaces naturels
6 rue Jeanne d’Arc 45000 ORLEANS – Tél : 02 38 24 55 00
Le réseau FREDON-FDGDON Pays de la Loire organise dans les marais poitevin un colloque national pour dresser un état des lieux de l’évolution des populations de ragondins (Myocastor coypus) et de rats musqués (Ondatra zibethicus) et définir les prochaines stratégies de lutte.
bsp;
La liste associée au règlement européen concernant les espèces exotiques envahissantes préoccupantes pour l’Union européenne a été publiée par la Commission européenne le 13 juillet 2016. Elle comprend 37 espèces de faune et de flore dont le détail est accessible au lien suivant :
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32016R1141
Le comité français de l’UICN accompagne les entreprises pour gérer les espèces exotiques envahissantes sur leurs sites.
CCEAU organise des mini-conférences en ligne sur les Espèces Exotiques Envahissantes. Les prochains webinaires auront lieu le 25 et le 26 février 2016. Inscription en ligne obligatoire (96 €). Nombre de places limité.
L’INRA et le Muséum national d’Histoire naturelle lancent un appel à contribution pour suivre la punaise diabolique (Halyomorpha halys).
CCEAU organise des mini-conférences en ligne sur les Espèces Exotiques Envahissantes. Les prochains webinaires auront lieu le 10 et 11 décembre 2015. Inscription en ligne obligatoire (96 €). Nombre de places limité.
Professionnels, vous êtes invités par l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée et Corse à répondre à un questionnaire sur les invasions biologiques. Cette enquête a pour but d’établir un état des savoirs et savoir-faire sur les espèces exotiques envahissantes sur le bassin Rhône Méditerranée et Corse. Vos réponses sont précieuses car elles permettront de formuler des préconisations pour l’action des SDAGE (2016/2021).
Pour participer ou obtenir plus d’informations sur cette enquête, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous : http://cceau.fr/EEE-RMC/index.php/survey/index/sid/753629/token/6ivdfwwkcnpnis8/lang/fr
Date limite de réponse : 1er septembre 2015
CCEAU organise le premier Webinaire d’une série de mini-conférences en ligne sur les Espèces Exotiques Envahissantes. Deux séances au choix : le mardi 27 ou le mercredi 28 mai 2015. Inscription en ligne obligatoire (96 €). Nombre de places limité –
Une rencontre régionale sur la gestion des renouées du Japon est organisée par l’ENSAIA, la Ville de Laxou et l’association Floraine. Elle s’adresse aux gestionnaires de sites, aux enseignants et aux chercheurs. Elle se déroulera près de Nancy le 11 juin 2015. Nombre de places limité – Inscription obligatoire (15 €)
Un groupe de recherche sur les invasions biologiques a été créé à Rennes et réunira différents chercheurs dans des domaines aussi variés que la biologie des invasions, l’écologie, la génétique et la génomique des populations, la modélisation, et les sciences humaines et sociales pour mieux comprendre ces phénomènes et leurs conséquences tant écologiques que sociétales.
Les assises nationales ont réuni deux cent participants, qui ont collaboré dans différents groupes de travail pendant 3 jours pour participer à la définition de la future stratégie nationale sur les espèces invasives et dans la perspective de la parution prochaine du nouveau règlement européen sur les espèces exotiques envahissantes.
Un colloque sur les renouées asiatiques organisé par le canton de Zurich et CABI s’est tenu près de Zurich du 28 au 30 août 2014. Il a réuni les experts de 10 pays européens, qui ont pu ainsi partager leurs résultats et leurs expériences.
Un groupe de travail ainsi qu’un site web sont en développement (à suivre…).
Après plusieurs années de recherche, CABI, organisme international de recherche appliquée sans but lucratif et spécialiste mondial de la lutte biologique contre les invasions végétales, vient d’introduire un champignon pathogène des balsamines de l’Himalaya (Impatiens glandulifera) en Angleterre.
Dans le cadre de l’animation de la plate-forme « Eau, Espaces, Espèces » du plan Loire grandeur nature 2007-2013, la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels, en partenariat avec l’Agence de l’eau Loire-Bretagne, organise une journée technique sur la gestion des espèces exotiques envahissantes. Cette journée technique, organisée avec le Parc Naturel Régional Loire-Anjou-Touraine aura pour thème « les espèces exotiques envahissantes et les espaces protégés » et se déroulera à Montsoreau le jeudi 11 septembre 2014.
« La prolifération des plantes invasives importées menace les plantes indigènes et sont également parfois nocives pour l’homme. Quelles sont les stratégies pour lutter contre ce phénomène ?
Documentaire visualisable jusqu’au 18 juillet sur Arte+7 et sur You Tube au lien ci-dessus.
Rediffusion le 22 juillet à 10h20.
Une bien curieuse exposition à découvrir en ce début d’été à Paris en rapport avec le problème des invasions animales. Elle a lieu à la galerie KADIST 21 rue des Trois Frères, 75018 Paris Métro : Abbesses (L12) ou Anvers (L2).
Depuis 1946, date de son introduction en Amérique du Sud, le castor (castor canadensis) n’a cessé de se disperser et l’espèce colonise aujourd’hui plus de 70 000 km2 et plusieurs dizaines de milliers de kilomètres de rivières. La prolifération de cette espèce est responsable de nombreux impacts écologiques et dommages économiques; des projets d’élimination de ces animaux sont à l’étude.
Un groupe de recherche associant anthropologues, artistes, et biologistes se sont poser la question surprenante « Comment écouter la « parole » des castors dans les prises de décisions qui concernent leur avenir sur l’île ? » Cette exposition est l’un des résultats de leur travail pour nous interpeller sur cette question.
Cet annuaire recense un peu moins de 200 entreprises qui ont été identifiées au second semestre 2013 par le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, comme ayant une activité en lien avec le génie écologique.
Il a pour but de mettre à disposition les domaines d’activité, les zones d’interventions, les références et chiffres clés de ces entreprises.
Le colloque international sur les plantes invasives a lieu une fois tous les 3 ans depuis 2006, dans un pays européen à chaque fois différent (Portugal en 2006, Croatie en 2008, Suisse en 2011). Pour sa quatrième édition, il se déroulera en France, à Montpellier et rassemblera une centaine de chercheurs et de gestionnaires venus de toute l’Europe.
Le projet de règlement européen visant à limiter les impacts des espèces exotiques envahissantes a été adopté par les députés européens le 16 avril 2014.
Le texte doit être ensuite approuvé par le Conseil des ministres européens.
Organisé par l’Université de Gent, l’INBO (Institut voor Natuur), les universités de Leuven et Lièges, le DEMNA (Département de l’Etude du Milieu naturel et Agricole) et le BBP (Belgian Biosafety Professionals), le colloque du 2 avril 2014 traitera des espèces invasives au travers de 3 thématiques :
– Séance 1 : L’analyse des voies d’échanges liées aux activités humaines dans la propagation des espèces invasives (Prof. Rob Leuven – Radboud University Nijmegen, The Netherlands);
– Séance 2 : Évaluation des impacts et risques liés aux espèces invasives (Prof. Jamie Dick – Queens University, Belfast, Ireland);
– Séance 3 : Contrôle, gestion et réduction des espèces invasives (Dr. Joe Caffrey – Inland Fisheries Ireland, Ireland).
La thèse de Fanny Dommanget intitulée « Interactions entre espèces invasives et communautés végétales des berges de cours d’eau : vers l’utilisation du génie écologique pour le contrôle des renouées asiatiques » se tiendra le vendredi 7 février 2014 à 14h en salle Ecrins, Irstea Grenoble (Campus Universitaire, 2 rue de la papèterie, 38402 Saint-Martin d’Hères).
Le jury sera composé de :
Confronté à des contraintes toujours plus nombreuses et complexes, le génie végétal n’a pourtant cessé de se développer en Europe. Parmi les nombreuses réalisations connues figurent des réussites incontestables sur une grande variété de cours d’eau au régime hydrologique et au fonctionnement écologique des plus diversifiés. Pourtant, que d’occasions ratées où le génie végétal aurait pu satisfaire des objectifs sécuritaires et conservatoires. En lieu et place, certains ouvrages laissent des empreintes écologique et paysagère lourdes. Poids des habitudes, volonté de simplification et déficit de connaissances dans un domaine où la pluridisciplinarité est requise, manque de confiance dans des techniques novatrices, information et formation déficitaires, sont autant de raisons expliquant ce constat mitigé.
(…)
Conscient de cette lacune, l’information et la promotion ont constitué l’un des deux points forts du projet. Si les chantiers pilotes en constituent la résultante concrète, cet ouvrage en est la synthèse, traitant les multiples facettes du savoir et du savoir-faire de cette science appliquée. Il marque une étape cognitive traitant de manière novatrice plusieurs thèmes liés à la gestion des cours d’eau montagnards et plus particulièrement :
Par son contenu varié et sa portée biogéographique transnationale, cet ouvrage aspire à répondre à une diversité d’attentes et de publics pour que le génie végétal ne demeure pas la préoccupation de quelques spécialistes, mais soit à la portée de tous. »
Selon un article daté du 7 novembre 2013 et paru dans la revue Teraeco, l’énorme quantité de déchet entraînée dans l’océan pacifique suite au tsunami qui a eu lieu au Japon en 2011 pourrait avoir des impacts en terme d’introduction de nouvelles espèces invasives aux Etats-Unis.
En effet, ces déchets contiennent potentiellement des espèces inféodées aux eaux japonaises, et dont certaines figurent sur la liste des cent espèces exotiques envahissantes les plus nuisibles au monde (liste de UICN). Ce phénomène, appelé le « rafting » par les scientifiques Martin Thiel et Lars Gutow, risque ainsi de permettre l’introduction aux états-unis de trois espèces particulièrement inquiétantes : la moule bleue Dreissena bugensis, le wakame Undaria pinnatifida, et l’étoile de mer Asterias amurensis.
Non-indigenous species are an important aspect within new coming regulations amongst them MSFD-Marine Strategy Framework Directive. Many questions like “why do these species survive here as well? « , » how do they get here? « , » what is their impact and how do we deal with it? » will be highlighted. Scientists and policymakers will be brought together to share knowledge and discuss on this.
La prochaine conférence Internationale « EURO-RIOB 2013 », organisée par le « Groupe des Organismes de Bassin Européens pour l’application de la Directive-Cadre européenne sur l’Eau », se tiendra, à l’invitation de la Direction de Basin Est Egéen du Ministère de l’Environnement et de l’Eau Bulgare à Plovdiv (Bulgarie) du 13 au 16 novembre 2013.
L’ensemble des travaux est ouvert à tous les organismes membres et observateurs du RIOB, ainsi qu’aux administrations de l’eau et organisations intéressées par l’application de la Directive-Cadre et de ses « Directives filles » et liées, des Pays membres et candidats de l’Union Européenne et de tous les autres pays d’Europe Orientale, des Balkans, du Caucase et d’Asie Centrale et du bassin méditerranéen.
« Bien qu’extrêmement rapides à l’échelle de temps d’évolution des écosystèmes, les invasions par les plantes exotiques, sont en pratique fréquemment gérables à l’échelle de temps des gestionnaires. Il existe en effet des moyens pour empêcher ou réguler ces invasions, encore faut-il savoir où et comment les mettre en œuvre. C’est tout l’enjeu et l’intérêt de définir des stratégies d’actions adaptées aux sites et aux espèces avant d’agir. Depuis les concepts soutenant ces stratégies jusqu’à leur mise en œuvre, l’exemple des renouées asiatiques sur les cours d’eau apporte une bonne illustration des possibilités de gestion des plantes invasives. »
(Mireille Boyer et Emma Cizabuiroz)
Dans son guide des « bonnes pratiques » de gestion des espèces exotiques envahissantes en milieux aquatiques, le GT IBMA (Groupe de Travail sur les Invasions Biologiques en Milieu Aquatique) publie une fiche de synthèse sur la gestion mécanisée des renouées asiatiques, par la technique dite du « concassage-bâchage ».
Cette technique déjà testée par plusieurs gestionnaires de cours d’eau, a été développée par Concept.Cours.d’EAU en partenariat avec CABI (Centre for Agricultural Bioscience International). Elle donne de bons résultats pour une élimination complète de la plante.
La 3ème conférence sur l’entretien des Zones Non Agricoles organisée par l’Association Française de Protection des Plantes (AFPP) s’est déroulée les 15, 16 et 17 octobre 2013 à l’Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse.
Au cours de ces trois journées 87 communications écrites ou affichées ont été présentées, dont plusieurs sur la thématique des plantes invasives. Mireille Boyer a notamment présenté les manières d’agir efficacement pour gérer les renouées du Japon.
Ce sont des terres contaminées par la plante et des déchets verts, qui sont à l’origine de l’introduction des renouées du Japon dans le Petit Buëch à partir de Veynes (Hautes-Alpes). La plante a ensuite été dispersée naturellement par l’eau et les crues sur plus de 10 km en aval.
Rivière naturelle, très active et au lit très large (>500 m), il fallait agir rapidement et de façon très efficace pour stopper ce processus d’invasion.
C’est chose faite puisque le SMIGIBA, après avoir lancé un inventaire cartographique exhaustif des massifs, vient de procéder à une vaste opération d’élimination mécanique de la plante .
3 espèces d’écureuils sont actuellement présentes en France, dont une seule indigène, l’écureuil roux. L’écureuil de Corée (ou Tamia de Sibérie) est actuellement vendu en animalerie et de nombreux animaux sont relâchés volontairement dans la nature. L’écureuil à ventre rouge, originaire de l’Est de l’Asie aurait été introduit en France dans les Alpes Maritimes. Une quatrième espèce introduite en Italie, l’écureuil gris, se rapproche année après année de la frontière franco-italienne.
Soumis à la fragmentation et la dégradation de ses habitats, localement à la compétition avec les écureuils introduits, l’Écureuil roux, quant à lui, tend à régresser en France.
« Un Plathelminthe (ver plat) terrestre, prédateur de lombrics (ver de terre), vient d’être détecté cet hiver dans trois localités françaises (Finistère, Alpes-Maritimes, Corse). Ce genre de ver n’existe pas naturellement en Europe. Dans les quelques pays où des espèces proches ont été récemment détectés, comme en Angleterre, on observe une quasi disparition de sa proie (les lombrics), causant des pertes agronomiques et des déséquilibres majeurs sur les milieux naturels. Son origine serait l’hémisphère sud, le plus probablement la Nouvelle-Zélande … »
Professeur Jen-Lou Justine – Muséum National d’Histoire Naturelle.
Revue Espaces Naturels – n°42 – Avril 2013 – page 37
« Une nouvelle technique d’élimination mécanique des renouées du Japon rendue possible par l’apparition d’outils puissants et mobiles, comme les godets-cribleurs-concasseurs ou les broyeurs à pierre, est en cours de développement. Elle agit directement sur le rhizome, seul organe à la fois vivace et capable de régénérer la plante. »
(Mireille Boyer)